Les forces aériennes russes ont déjà perdu quatre chasseurs-bombardiers Su-34 les plus récents en Ukraine.
Les forces armées russes auraient subi de lourdes pertes, avec 11 000 hommes tués et plus de 1 000 pièces de matériel important perdues, y compris des avions de combat modernes.
En outre, les pertes visuellement confirmées du plus récent chasseur-bombardier russe Su-34 (nom de rapport OTAN : Fullback) dépassent maintenant 4 appareils au cours de son invasion de l’Ukraine.
Le ministère ukrainien de la Défense a indiqué dimanche que les Su-34 russes avaient frappé les infrastructures militaires ukrainiennes et les résidents civils de Kharkiv et de Tchernihiv lors de l’invasion.
Selon l’observateur sous le pseudonyme d’Oryx, un Fullback a été abattu le 1er mars, deux autres ont été abattus le 5 mars et un hier, le 6 mars.
Il convient de noter que le nombre d’avions russes abattus pourrait être plus important, mais pour l’instant, aucune photo ou vidéo n’a été confirmée.
Dans un communiqué, l’état-major ukrainien a déclaré que depuis le début de la guerre, l’armée ukrainienne a détruit 46 avions et 68 hélicoptères appartenant à des Russes.
Le Sukhoi Su-34 est un avion d’attaque russe moderne conçu pour remplacer le Su-24 « Fencer » de l’ère soviétique au service des forces aérospatiales russes (VKS). Il est équipé de 12 points d’ancrage pour le transport d’une gamme d’armes air-sol et air-air, y compris des armes non guidées ou « muettes ».
Basé sur le chasseur de supériorité aérienne Su-27 Flanker, le Su-34 possède un cockpit blindé permettant à son équipage de deux personnes de s’asseoir côte à côte.
Le Su-34 est conçu principalement pour un déploiement tactique contre des cibles terrestres et navales (rôles de bombardement tactique, d’attaque et d’interdiction, y compris contre des cibles mobiles et de petite taille) dans le cadre de missions en solo ou en groupe, de jour et de nuit, dans des conditions météorologiques favorables ou défavorables et dans un environnement hostile, avec déploiement de contre-feux et de contre-mesures de guerre électronique (GE), ainsi que pour la reconnaissance aérienne.
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