L’appareil était identifié comme Izdeliye 7 par les VVS et Fulcrum-C par l’OTAN. Les premiers exemplaires du « 9.13 » furent déployés en Allemagne de l’Est au sein de la 16 VA. Au cours de leur carrière, la plupart des appareils fut équipée de brouilleur actif Gardenya-1FU. Une version d’export, l’Izdeliye 9.13B, fut produite à 5 ou 6 exemplaires pour la Corée du Nord. En 1988 et 1989, les prototypes du MiG-29 « 9.13 » 405 et 404 (« 05 bleu » et « 04 bleu ») subirent de nouvelles modifications pour pouvoir emporter le nouveau missile air-air moyenne portée R-77. Cette nouvelle version fut baptisée MiG-29S ou Izdeliye 9.13S, tandis que la désignation OTAN resta Fulcrum-C. Le nouvel appareil voyait donc ses capacités air-air renforcées avec l’adoption d’un désignateur de cible RLPK-29M amélioré basé sur le radar Phazotron N019M Topaz. Le système de navigation optronique OEPrNK-29-1 était lui aussi amélioré, et un nouveau processeur Ts101 fut installé. A l’arrière, 21 rayons aero à section variable en acier inox avec doublement des rayons côté cassette (Two-to-One). Notons également la présence d’une flasque très imposante du côté de la cassette. J’ai monté ces roues sur un Canyon Ultimate CF SLX pour les essayer. Au passage, le couple est très intéressant pour un vélo qui devient encre plus polyvalent et léger ! Anti-Rotation System : des rayons qui ne vrillent pas ! C’est en moyenne montagne que ce type de profil permet d’exprimer pleinement son potentiel ! Preuve étant que les ingénieurs Fulcrum qui cherchent à créer un système d’accouplement rayons/moyeu capable de maintenir les rayons toujours dans la même position ont réussi le produit ! Le cycliste prendra un réel plaisir à secouer celles-ci dans les bosses ou seul son potentiel physique sera la limite. Notons qu’avec son brevet Two-to-One, Fulcrum travaille à réduire une flexion excessive de l’ensemble des rayons sur la roue libre. De plus, les contraintes sur les rayons sont mieux équilibrées et la résistance à la fatigue de la jante, du moyeu et des rayons est accrue, censés prolonger leur durée de vie.

Depuis la demande de Bachar el-Assad auprès de la Russie, celle-ci s’applique à défendre la Syrie contre ses attaquants. Pour remplir sa mission, elle a déployé des moyens énormes sur le territoire et y a même envoyé le Su-35 connu pour être le plus performant chasseur de toute l’histoire de l’aviation. Ces nouveaux oiseaux sont arrivés dans le ciel Syrien depuis janvier 2016 pour effectuer des missions de combat. Il a été conçu pour renforcer les capacités offensives du Su-27. À l’origine, le Su-35 devait désigner la version modifiée du Su-27. Sa conception a été lancée en 1992 sous les ordres des forces aériennes russes. Cette version d’export a participé à de nombreux meetings aériens et fut baptisée officiellement Su-35BM. Le premier prototype, réalisé à l’usine Komsomolsk-na-Amure Aviation Producation Association (KnAAPO) a été achevé en 2007. Il fut présenté, la même année, au salon aéronautique de Moscou (MAKS). Durant un vol d’essai en date du 14 avril 2009, un prototype du Su-35BM s’écrasa au sol. Les ingénieurs de Mikoyan et Gourevitch ont commencé des travaux sur un nouveau projet, baptisé au début le I-330 ou MiG-15bis 45 dans une tentative de corriger les défauts du MiG-15. Ils ont modifié la flèche de l’aile en l’augmentant de 35 à 45 degrés, il y a eu un agrandissement de l’empennage vertical et le fuselage fut allongé de 90 centimètres. Deux prototypes ont vu le jour. Le premier vol a été assuré le 14 janvier 1950 avec aux commandes I.T. Lors de ce vol d’essai, l’appareil a montré des performances bien supérieures au MIG 15 ainsi qu’une meilleure maniabilité. Il est doté cependant de quelques défauts comme par exemple les commandes qui sont plus dures. Après de longs tests et essais, la production en série de cet appareil a commencé en 1951 avec des aérofreins plus grands. Ils furent équipés d’un réacteur Vk-1A ainsi qu’un nouveau siège éjectable. La production de cet avion se poursuit avec l’apparition de la version MiG-17F qui a été amélioré en lui ajoutant le montage d’un collimateur radar SRD-1 ainsi que le montage de missiles air-air R3S. Ensuite, le MiG-17P voit le jour. Il fut équipé d’un réacteur Vk-1A, sans réchauffe, vol en L39 cette version reçoit le code OTAN de Fresco B. Cependant cette version a été équipée d’un radar peu puissant ce qui empêche les pilotes d’opérer de façon indépendante. La version MiG-17PF entre en service en 1953, équipée d’un réacteur Vk-1F. Elle est dotée également de nouveaux aérofreins ainsi qu’un système d’alerte radar Sirena.

Pour que cette puissance exceptionnelle puisse s’exprimer sur la route en toute sécurité et avec maîtrise, les ingénieurs ont dû réajuster les trains roulants de cette voiture de sport ultra puissante. Des amortisseurs repris et adaptés des véhicules de course, aux temps de réponse extrêmement courts, ont encore amélioré la maîtrise du véhicule et perfectionné son équilibre. Bugatti a mis au point pour la Grand Sport Vitesse un nouveau becquet arrière de pavillon qui réduit de manière significative les bruits aérodynamiques et les tourbillonnements dans l’habitacle. Le cabriolet est en outre doté d’un nouveau filet anti-remous, qui peut être rangé de manière compacte dans le coffre à bagages lorsqu’il n’est pas utilisé. Ces deux éléments sont également disponibles pour la Grand Sport : lorsqu’ils sont associés, ils permettent de conduire de manière détendue, sans le toit, même à des vitesses proches de 200 km/h. À l’avant et à l’arrière, de nombreuses mesures d’optimisation de l’aérodynamique de la Super Sport ont pu être adaptées à la Grand Sport Vitesse. La partie centrale du fuselage est produite par le constructeur chinois AVIC, et le reste de l’avion (fuselage avant, cockpit, entrées d’air, ailes et empennage) sont fabriqués au Pakistan. Le Pakistan assemble d’ailleurs ses propres avions, en parallèle avec la chaîne de production du FC1, l’équivalent du JF-17 pour la Chine. Des rumeurs ont un temps émaillé les média concernant la volonté pour le Pakistan d’acquérir des systèmes étrangers, notamment français, pour équiper le JF-17 d’un radar plus moderne, comme le RC400 de chez Thales, et des missiles air-air MICA. S’il est fortement probable que ces actualités aient été justes, aujourd’hui ce ne peut plus être le cas. Le général Ali a été clair. A ce jour, l’avion est équipé avec l’équivalent des fonctionnalités de tous ses concurrents. Il ne cherche pas à s’émanciper de la Chine, ou de gagner en performances, mais bel et bien de capter un nouveau marché. Un concurrent du Gripen ? Avec une masse à vide et des fonctionnalités opérationnelles comparables, on serait bien tenté de dire que le JF-17 Thunder se place en concurrent direct du JAS-39 Gripen suédois.

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