Ces derniers ne sont pas indispensables pour profiter du F/A-18 mais la map constitue un terrain de jeu intéressant pour notre frelon. C’est en partie cette volonté de franchir un nouvel échelon dans le réalisme qui explique la lenteur du développement. Le F/A-18 Hornet est un biréacteur tous temps qui était utilisé par l’US Navy et le Marine Corps en tant que plate-forme de combat et d’attaque. Dans son utilisation combat (F), le F/A-18 était principalement utilisé comme escorte et la défense aérienne de la flotte. Dans son utilisation attaque (A), il était utilisé pour la projection de force, l’interdiction et le soutien aérien rapproché. L’avion sert également de dernière cellule de choix pour la célèbre équipe de vol acrobatique « Blue Angels » de la marine américaine. La version « presse » 2.5.2 comprend la nouvelle map Hormuz et le module F/A-18c Hornet, c’est une vraie version Alpha avec des bugs, des incohérences, des CTD et une tonne de fonctionnalités absentes. Rapidement, de nouveaux volets sont installés pour améliorer la manoeuvrabilité de l’appareil en combat aérien. Un détecteur d’alerte radar est ajouté au sommet de la dérive à partir du 71e exemplaire. Enfin, à partir du 84e exemplaire, une perche de ravitaillement en vol est montée en série. Cette perche est fixe mais peut être démontée au sol. Les exemplaires qui en sont pourvus sont désignés Mirage F1 C-200. Initialement, le seul armement disponible est le missile air-air à moyenne portée Matra R530. À la fin des années soixante-dix arrivent les Matra R550 Magic – missiles à courte portée alors installés sur des rails montés en bout d’aile – et le Matra Super 530 F, version nettement améliorée du Matra R530. Mirage F1 A, appareil monoplace d’attaque diurne destiné à l’export, équipé d’un radar Aida II, d’une perche de ravitaillement en vol rétractable et d’un système de navigation et d’attaque par temps clair comprenant en particulier un télémètre radar. Mirage F1 B, appareil biplace d’entraînement allongé de trente centimètres pour permettre l’installation d’un second siège, avec capacité en carburant réduite et canons de trente millimètres supprimés.
Arrivée photographiée par des miliciens locaux du régime, de la deuxième livraison de Su-57 et d’un Antonov 50 supplémentaire, accompagnés par des Su-30 SM de combat multifonctions. Les soutes d’armement du Su-57 sont conçues pour transporter à bord le nouveau missile X-50 de croisière nucléaire tactique russe, bien qu’on ne sache pas si les avions de chasse transférés en Syrie en transportent avec eux. Les images Satellite montrant les avions furtifs russes en Syrie. Il (le Su-57) est aussi perçu à Moscou, comme un défi contre l’avion de combat furtif F-35 de cinquième génération américain, récemment acquis et déjà transformé en Adir par les IAI. Est-ce que Poutine a sérieusement l’intention d’ordonner à sa puissance flotte aérienne de se lancer dans une bataille aérienne contre les Etats-Unis ou Israël, dans l’arène bouillonnante syrienne? La seule présence du Su-57 de l’autre côté de la frontière a eu pour effet instantané de réduire la liberté d’action des forces aériennes israéliennes, au-dessus de la Syrie et du Liban. Le général américain responsable des combats aériens : la présence des avions furtifs russes Su-57 en Syrie augmente le niveau de complexité à traiter par les équipages des forces aériennes américaines”.
Le Platan est implanté sur le dessous du fuselage entre les réacteurs et en avant des entrés d’air. Il est intégré au sein de la structure de l’appareil et lorsqu’il est employé il se déplace vers le bas pour cibler le sol. Contrairement à un pod externe qui dispose d’un débattement plus important, le Platan est limité mécaniquement par son implantation dans l’appareil. Le Platan dispose également d’un GRPZ ATT, vol en avion de chasse système qui permet de suivre automatiquement deux cibles en même temps. Par contre, contrairement à ce qui est régulièrement indiqué; l’appareil ne dispose pas d’un radar dans son cône de queue. Cette option avait bien été étudiée par les Russes mais finalement rejetée. Le calculateur K-030B (Baget-10V) est chargé de centraliser les informations issues du radar V004 ainsi que du système de ciblage Platan et les transfère à l’équipage où elles sont affichées dans le cockpit sur des écrans multifonctions. Les moteurs ne sont pas équipés de tuyères à orientation variable, par contre des tests ont été réalisés avec un Su-34 équipé d’AL-31FM1 (Izd.99M1) offrant une poussée maximale de 132,4 kN chacun. Les Russes ayant décidés de diminuer leur présence sur le terrain suite à la reprise d’Alep par le régime Syrien. Diminuer mais aussi réorganiser les appareils employés ainsi que leurs affectations en fonction de l’évolution des besoins opérationnels. Mais soit, la guerre en Syrie et le déploiement Russe ne sont pas les sujets de cet article. Signalons à titre d’anecdote que les Russes ont masqués une partie des décorations de leurs appareils (notamment l’étoile Rouge et l’indication « VVS Rossiya ») des appareils engagés en Syrie. Le Su-34 à l’export? Ces campagnes et changements de dénominations n’engrangèrent pas de commandes. Cependant, l’Algérie négocie depuis plusieurs années l’achat d’un premier lot de 12 Su-32/34 (avec possibilité de monter à 40 appareils à terme) en vue de remplacer ses Su-24M vieillissants. Le paysage et le Su-30SM en arrière-plan donnent un aperçu de ce que pourrait être un Su-34 employé au-dessus de l’Algérie.
L’appareil dispose d’un cockpit logé dans une baignoire en titane de 17 mm d’épaisseur qui a pour but d’assurer la sécurité de l’équipage lors de frappes effectuées à basse altitude. Toujours dans le même optique, les réservoirs à carburant sont renforcés et auto-obturants, des plaques de blindages ayant été installées pour protéger certains systèmes exposés de l’appareil (trains d’atterrissage, certaines zones inférieures du fuselage, et les réservoirs d’ailes). Les principaux systèmes de contrôles de l’appareil sont conçus avec une redondance accrue vu le besoin de pouvoir résister aux tirs d’armes de petits calibres. Le cockpit de l’appareil se prolonge vers l’arrière et sa configuration permet aux membres d’équipage de se tenir debout, ce dans un souci de rendre le travail plus confortable. La climatisation de l’appareil permet aux équipages de se trouver à 10.000m d’altitude mais avec la pression intérieure équivalente à 2.500 m d’altitude. Ceci dans le but d’enlever le besoin de porter un masque en plein vol. La zone en arrière du cockpit contient un réchaud électrique pour les aliments ainsi qu’un urinal portatif; ces deux éléments étant plus que nécessaires dans le cadre de vol de longue durée.
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