Sur le papier c’est beaucoup de punch donné au 2000D. Mais dans les faits, le missile sera sans doute intégré à minima et utilisable bien en deçà de ses capacités, faute de radar idoine. L’autre point évoqué concerne l’intégration possible de la munition auto-propulsée AASM. Souvent évoquée, elle ne ferait à priori pas partie du périmètre de la rénovation. Dommage pour Safran Electronics & Defense (ex Sagem), concepteur et fabriquant de la munition, mais ce choix technique semble logique : les Mirage peuvent déjà emporter les GBU-49, qui possède également un mode de guidage mixte, vol en avion de chasse laser et GPS. Certes l’AASM a pour elle la portée fournie par son propulseur et le label made in France. Mais la GBU-49 a pour elle d’être bien moins chère. Et quid de la roquette ? Ce lance roquette factice était présenté sous un Mirage 2000D au salon du Bourget 2009. Une roquette guidée offrirait à l’avion un degré de polyvalence supplémentaire. En l’absence de pod Atlis, un troisième homme d’équipage assis sur l’entrée d’air remplit la fonction ISR.
Ils ont un moteur 2213 d’une puissance totale de 850kV qui propulse le drone à une vitesse maximale de 70 km/h (en mode follow me). La batterie est une Lipo 4S de 14,8V et 5400mAh permettant une autonomie en vol d’environ 22 mn. La radiocommande est une ST16 à 16 voies avec une fréquence radio de 2,4GHz et une fréquence vidéo de 5,8GHz. Elle fonctionne sous système d’exploitation Android. Yuneec affirme que la portée radio et vidéo va jusqu’à 1,6Km, mais des tests ont montré qu’en réalité elle est d’à peu près 1Km. Elle possède une sortie HDMI et une entrée pour un mini carte SD. La télécommande fonctionne avec une batterie 3,6V/8700mAh. La présence du module GPS participe à une bonne stabilisation du drone en vol extérieur. Mis à part les caractères communs du drone voici les caractéristiques spécifiques au Typhoon H Advanced RTF. Le Typhoon H Advanced est doté d’un système anticollision fonctionnant avec des capteurs à ultrasons de type Sonar. Conformément à l’article 38 de la Loi 78-17 du 6 janvier 1978 modifiée, vous disposez d’un droit d’accès, de modification, de rectification et de suppression des données vous concernant. Les premiers y ont laissé leur vie et les deuxièmes ont eu moins de chance : ils ont été tués sur le coup. Info complémentaires: il s’agit d’un monoplace qui a décollé de Meiringen avec un autre appareil alors que l’on avait peu de visibilité sur la région. La balise de l’appareil et celle du pilote n’ont pas pu être détectées. Vu la météo, les recherches aériennes sont impossibles. Des secours terrestres ont été activés sans résultat avant que la nuit ne tombe. Selon où le jet est tombé (zone de prairie ou haute montagne), on devra peut-être attendre une intervention aérienne pour détecter le lieu du crash. Un FA-18 biplace s’était déjà crashé dans la région en 1998, en tuant les 2 membres d’équipage suite à une désorientation spatiale du pilote. P’tête ben que vot’ pilote a fait défection en France, qui sait y ?
On réservera le peu d’armement disponible pour les phases de divertissement en attendant mieux. « Alors finalement on le prend ou pas ? Si vous n’avez pas la patience d’attendre une modélisation complète des systèmes. Si vous n’aimez pas servir de beta testeur payant . Si vous n’avez pas confiance dans la capacité d’ED a finir ce module. Si vous pestez dès qu’une fonctionnalité n’est pas modélisée totalement ou buggé. Et bien ne prenez pas ce module en l’état, vol en L39 attendez une version plus aboutie (ou corrigée) ! Et vous aurez bien raison ! Si vous êtes patient (ou habitué à l’être). Si vous êtes confiant (mais pas stupide) . Si vous aimez les avions modernes multi rôles avec un potentiel énorme. Si vous ne vivez que pour vous poser sur un porte-avion. Si vous vous imposez de maîtriser un avion avant de partir au combat. Et bien prenez le sans vous posez trop de questions : il y a déjà matière à s’occuper et se plonger dans l’avion. Vous avez peu de chance de le regretter. Etant le nouveau Flagship de Eagle Dynamics cela devrait nous éviter de mauvaises surprises. Comme écrit plus haut, ED signe ici un module qui doit être la démonstration des capacités de DCS. Notre impatience est grande, mais pas autant que la pression qui repose sur les épaules de l’éditeur.
Su-27IB (Istrbitel-Bombardirovchik, chasseur-bombardier), le projet fut confié à R.G. Martirosov, sous la direction de Simonov. L’appareil avait été agrandi, et est devenu biplace côte-à-côte afin de renforcer la coordination entre les pilotes. L’équipage accède au cockpit par une échelle. Le Su-34 est souvent cité comme ayant des toilettes et une cuisine : en réalité, il s’agit d’un récipient faisant office d’urinoir et d’une bouteille thermos, pour les longs raids. En revanche, le cockpit est suffisamment grand pour pouvoir se lever du siège et s’allonger derrière. L’habitacle est protégé par un blindage en titane de 17 mm et dispose d’écrans multifonctions et de deux sièges éjectables Zvesda K-36DM de type Zéro-Zéro. La capacité en carburant fut augmentée et est passée à 12.100 kg, étant même intégrée dans les dérives agrandies. L’appareil dispose de plans canards, qui servent à supprimer les effets des turbulences et augmenter la stabilité. Les entrées d’air à géométrie variable et les quilles ont été supprimées, les performances à haute altitude étant jugées moins importantes, d’où une vitesse maximale plus faible. En effet, depuis une dizaine de jours maintenant, un feu brûle sans discontinu sur le champ de tirs d’Älvdalen, situé dans le centre de la Suède. Malgré les efforts des hélicoptères bombardiers d’eau et un terrain difficile d’accès, il était impossible de déployer sur place et au plus près des flammes des pompiers. Ces derniers risquaient d’être touchés voire tués par les explosions de munitions qui n’ont pas explosé lors de précédents exercices de tirs et qui seraient mises à feu avec la chaleur de l’incendie. A titre d’information, des situations de ce genre ont déjà eu lieu en France, où des sapeurs-pompiers, en combattant un feu, se sont retrouvés au milieu d’un champ de tirs. Par chance, des militaires présents dans la zone ont rapidement rejoint ces pompiers afin de les évacuer. Face à cette impasse, la Force aérienne suédoise a reçu une demande d’aide des autorités locales en charge de la maitrise du feu. Avec le tir de cette GBU-49, l’objectif est de tenter d’éteindre l’incendie en créant une onde choc et en l’étouffant avec les flammes provoquées par l’explosion de la bombe. Pour se faire, le JAS-39C a décollé de la base aérienne de Ronneby, située dans le sud du pays, ce mercredi 25 juillet 2018. Accompagné par un second Gripen, il est allé frapper la zone désignée.