Le 26 juin, Taïwan a pu recevoir son premier lot d’avions de combat F-CK-1C/D Hsiung Ying mis à niveau et destinés à la force aérienne 443 dans le centre de Taichung pour le 30 juin. Cette livraison intervient après 4 années d’un plan de modernisation de 5,87 millions de dollars. Luo Shou, porte-parole de la ROCAF (Republic of China Air Force) a annoncé la livraison en déclarant que « La mise à niveau des autres avions dépend du budget à venir. Les nouveaux avions bénéficient de radars améliorés, d’ordinateurs de mission, de contre-mesures électroniques, et d’autres équipements électroniques. A noter que le gouvernement taiwanais a réitéré sa demande de F-16C/Ds, qu’il continue de réclamer publiquement aux américains. Les détails qui ont émergé montrent une série d’améliorations qui transforme l’avion en véritable appareil de combat multi-rôle, le plaçant au delà des capacités du F-16 et du Mirage 2000 que Taïwan possède déjà. Aucun de ces deux projets ne déboucha sur une commande en série; la Russie de l’époque n’ayant tout simplement pas les moyens de se payer ses appareils. Le Su-47 « Firkin ». L’appareil suivant n’est autre que… le T-50. Faisant suite au Su-27, Su-37 et Su-47, il reçoit donc la dénomination Su-57. Quoi de plus logique? Voilà qui permet de boucler la boucle: certes, on peut sourire devant certains des arguments soulevés mais ils sont tous logiques et aisés à comprendre. Cependant, ceci n’est qu’une dénomination, qu’il s’appelle T-50, Su-57 ou XW-7685, l’appareil reste strictement le même! En ce qui concerne les actualités récentes liées au Su-57; plusieurs informations ont été publiées récemment. Débutons avec l’annonce faite par plusieurs médias du premier vol du prototype T-50-11. Cette information est à prendre avec les réserves d’usage vu que le T-50-10 n’a pas encore été aperçu et/ou annoncé. Si cette information n’est pas impossible en tant que telle, il est surtout urgent d’attendre la publication des premières photos avant de se faire son idée sur la question. La sortie du prototype T-50-9 avait été annoncée plusieurs semaines avant de voir les premières photos. Le dernier prototype de T-50 tant qu’à présent: le T-50-9. Toujours en ce qui concerne les prototypes; le CEO d’UAC Russia, Iouri Slyusar, a encore confirmé que 2017 verrait le premier vol des trois derniers prototypes. On peut donc s’attendre à l’arrivée des T-50-10/-11 cette année vu que le T-50-9 a déjà effectué son premier vol; le programme a connu plusieurs retards donc on saura à la fin de l’année si cette annonce a été respectée. En outre, Iouri Slyusar confirme également que les premiers Su-57 de série seront livrés en unité à partir de 2019. Par contre, pas un mot n’a été dit au sujet des moteurs qui équiperont les premiers appareils de série. Su-57 et ciel bleu: un cocktail du plus bel effet.

Le système de génération d’oxygène embarqué OBOGS est destiné à satisfaire les besoins respiratoires d’un ou de deux pilotes d’avion, à assurer leur protection contre les accélérations et les agressions BC. Les OBOGS d’un avion de chasse et d’un avion d’entraînement différent essentiellement par leur architecture, plus complexe sur les avions de chasse. Grâce à une régulation oxygène et anti-G reposant sur une technologie électromécanique de l’OBOGS Air Liquide, la distribution de gaz est gérée avec une vitesse et une précision supérieures aux équipements de conception purement mécanique. Des lois d’asservissement non linéaires peuvent être également assurées. De plus, le diagnostic et la gestion du système sont facilités sans dégrader la fiabilité de l’équipement. Tous les paramètres de pilotage étant mesurés électroniquement, ils sont plus faciles à contrôler de façon continue (Continuous Build-In Test) dans une optique de maintenance selon état. A iso performance, l’OBOGS d’Air Liquide a une masse réduite grâce à la maîtrise des tamis moléculaires, la forme brevetée des colonnes et la légèreté du dispositif de maintien. Le pilotage électronique de toutes les fonctions offre une grande flexibilité dans la gestion des paramétrages de fonctionnement (lois de surpression altimétrique, lois de sous facteur de charge, loi de surveillance…). On peut fonctionner sur une très large gamme de pressions d’alimentation.

Le nombre de points d’emport a été porté à neuf (quatre sous chaque aile et un sous le fuselage). Dans la panoplie d’armes guidées de la classe air-air on trouve le missile moyenne portée R-77. Pour la première fois en URSS ce missile a été doté d’une tête autodirectrice active (ARGS), ce qui permet d’attaquer plusieurs cibles simultanément. Le premier prototype du MiG-29M, codé « 151 bleu », a été achevé au début de 1986 et dès le 25 avril de la même année l’appareil effectua son premier vol. Cinq autres prototypes du MiG-29M ont été construits au cours des quatre années suivantes, effectuant en permanence des vols expérimentaux permettant d’améliorer leurs performances. Le dernier prototype, le « 156 bleu », fut achevé par l’usine MAPO au début de l’année 1990. Les essais constructeurs s’achevèrent à la même époque. Cependant, les essais d’acceptation durent être suspendus en 1993, faute de crédits. Les pilotes auxquels ces MiG-29M avaient été confiés appréciaient leur grande manœuvrabilité. Selon les spécialistes, le potentiel du MiG-29M (par rapport au MiG-29) a été augmenté d’une fois et demie en mission air-air et de 3,4 fois en mission air-sol. Le projet Su-remonte à l’ère soviétique et plus précisément au lancement, en 1988, de la conception d’un avion d’attaque au sol inspiré de l’avion d’entrainement au combat Su-27UB. Quatre ans plus tard, le 14 avril 1992, le premier avion de série décollait avec succès. Apres l’effondrement de l’URSS, toutefois, vol en MiG29 la production de masse a ralenti avant de cesser complètement et le Su-30 a principalement été utilisé pour des essais et expositions dans des salons aéronautiques internationaux. La production du Su-30 d’origine a fini par s’arrêter alors que les ingénieurs s’employaient à libérer le plein potentiel de l’appareil. En 1996, l’Inde signait un contrat d’achat de 40 Su-30MKI. Avec 272 appareils commandés au total, il constitue la pierre angulaire de l’Indian Air Force. Véritable appareil polyvalent, il assure les missions de défense aérienne, d’escorte à long rayon d’action, de frappes air sol de frappes anti-navires et (les experts le supposent) stratégiques avec la capacité nucléaire. Le prototype du Su-30MKI s’est envolé pour la première fois le 1er juillet 1997. Depuis lors, l’avion a été modernisé en Biélorussie et vendu, en 2013, à l’Angola. Il est caractérisé par un radar BARS du NIIP Tikhomirov (radar à balayage électronique) comparable au RBE2 du Rafale première génération. Parmi les autres appareils de la famille Su-30 figurent les Su-30MKK et Su-30MK2, essentiellement destinés à l’exportation en Chine. La production du Su-30SM pour l’Armée de l’air russe a commencé en 2012. Des contrats portant sur la livraison de 72 avions ont d’ores et déjà été conclus et d’autres commandes sont attendues. Le Su-30M2, construit par Komsomolsk on Amur Aviation Production Association (KAAPA), est destiné à remplacer les avions d’entrainement au combat Su-27UB : 20 Su-30M2 ont été commandes au total.

]. Au total, ces avions effectuent plus de 500 missions et larguent plus de 55 tonnes de bombes pendant ce conflit. Depuis 2014, 6 Mirage 2000-9 émiriens sont engagés dans la coalition contre l’EI en Syrie. Depuis 2015, des Mirage 2000-9 sont engagés dans la guerre civile au Yémen dans l’opération Restaurer l’espoir. Dans le cadre de l’application de la résolution 1973 du Conseil de sécurité des Nations unies (opération Harmattan), six Mirage 2000-5 EDA des forces aériennes du Qatar sont engagés à partir du 25 mars 2011 au-dessus de la Libye. Deux Mirage 2000 ont participé aux premières frappes de la coalition contre l’État Islamique en Syrie, le 23 septembre 2014, lors de la guerre civile irakienne. Lors de la guerre du Cenepa, les Mirage 2000 péruviens sont engagés dans des missions de supériorité aérienne et d’escorte. La production de Mirage 2000 a été arrêtée en 2007 : 7 prototypes, 4 appareils de présérie et 601 de série — soit 612 machines au total — sont sortis des usines Dassault Aviation. Comme la connexion GPS est souvent difficile voire impossible en vol en intérieur, un capteur à ultrason et une caméra prennent le relais pour une bonne stabilisation du drone. Wizard) l’un pour piloter le drone et l’autre servira à la gestion de la nacelle. La résolution vidéo est en UHD 4K 30i/s, en Full HD 1080p 24/25/30/48/50/60 ou 120i/s. La résolution photo est de 12,4 Mp. Cette caméra permet de prendre des vidéos sans distorsions de l’image. 3 axes qui neutralise les vibrations. Typhoon H RealSense est destiné aux prises de vues aérienne. Des tests durant lesquels le Typhoon H RealSense, en mode follow me, a réussi avec brio à suivre son utilisateur dans une forêt, en évitant les obstacles. Ce drone est aussi un RTF. Il est équipé de système anticollision à capteur ultrasons et de différents modes vols intelligents. Sa caméra est la nouvelle caméra thermique CGOET de Yuneec.

Mirage 2000C (RDM) : version « bouche-trou » équipée du radar RDM ( le radar RDI prévu n’était pas encore disponible ) et du moteur M53-5. Mirage 2000C S2, n°16 à 19 : équipés de radars RDM à capacité « look down » améliorée. Mirage 2000C S4-1 : n°49 à 63, radars RDI J1-2. Mirage 2000C S4-2 : n°64 à 74, radars RDI J2-4. Mirage 2000C S4-2A : passage au standard des Mirage 2000C S4,S4-1 et S4-2 avec un radar RDI J2-5. Mirage 2000C S5 : n°75 à 124, radars RDI J3-13. Mirage 2000C S5-2C : Mirage 2000C S-5 mis à jour avec de nouveaux équipements ECCM (contre contre-mesures électroniques). Mirage 2000-5F : version du Mirage 2000-5 destinée à la France. Appareils stationnés sur la base aérienne de Dijon-Longvic. Mirage 2000-5F SF1 : 37 Mirage 2000C S4-2A et S-5 mis au standard « -5 » (Les RDI J2-5 ainsi libérés remplacent les RDM). Mirage 2000-5F SF1-C : Mirage 2000-5F SF1 équipés de nouvelles fonctionnalités RDY. En somme, un positionnement de l’avion peu distingué, un gain capacitaire pas forcément substantiel, mais un coût supplémentaire pour le MCO qui pourrait fortement augmenter, et il viendra surtout perturber un écosystème et la doctrine à peine stabilisée. Je ne serai donc pas surpris si la rumeur, selon laquelle ni l’armée de l’air ni la marine chinoise ne l’a choisit, est confirmée. Certains peuvent aussi penser aux forces aéronavales que la Chine est en train de construire, alors pourquoi ne pas remplacer le J-15 par le FC-31 ? Après tout, l’US Navy passe aussi aux F-35C donc il faut « suivre », non ? Si c’est pour faire du « bling bling » ou « comme les grands », je ne pense pas que ce soit la pratique courante de la marine chinoise, où le budget continue à être très serré d’après mes sources. « On préfère quelque chose qui marche rapidement, et non des choses qui marcheront potentiellement mieux mais on ne sait pas quand », dit l’un des anciens officiers techniques de la marine chinoise.

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