Le 7 février 2001, le pilote d’un Mirage F1-CT français de l’Escadron de chasse 1/30 Alsace (basé sur la base aérienne 132 Colmar-Meyenheim) a été contraint de s’éjecter après un problème de réacteur. L’avion s’est écrasé dans un champ de la commune de Condal (Saône-et-Loire), sans faire de dégât ni de victime. Le 1er septembre 2006, le pilote d’un Mirage F1-CT français a été contraint de s’éjecter dans la région d’Abéché (Tchad), à la suite d’une collision avec un oiseau. Le 6 décembre 2006, le pilote d’un Mirage F1CT français a été contraint de s’éjecter au-dessus de l’Algérie lors d’un vol de convoyage entre Ndjamena et la France. Le 5 avril 2007, le pilote d’un Mirage F1CT français a été contraint de s’éjecter dans la région de Faya-Largeau (Tchad) lors d’une mission de reconnaissance. Le 19 juin 2008, deux pilotes français de l’escadron de chasse 1/30 Alsace se sont éjectés de leur Mirage F1 B, devenu incontrôlable presque immédiatement après son atterrissage sur la base aérienne 132 Colmar-Meyenheim. Cet article est une ébauche. TEMPEST est l’acronyme officiel de Telecommunications Electronic Material Protected from Emanating Spurious Transmissions. Il désigne les techniques et les contre-mesures de sécurité ainsi que les standards visant à protéger ou masquer les signaux et rayonnements électromagnétiques émis par les appareils électriques, y compris les ordinateurs. Les signaux électromagnétiques peuvent être captés à distance avec un équipement approprié (récepteur ou branchement sur le réseau électrique) et peuvent être corrélés avec l’information traitée par un ordinateur ou un équipement de cryptage. Il s’agit d’une forme d’espionnage. Pour résumer votre PC, ou tout autre appareil informatique (Smartphone, Tablette, etc) peut être espionné à distance, SANS que vous puissiez le détecter, et ce pour quelques centaines d’euros de matériel! Article de Zataz (fr). Article sur Taz.newffr (fr). Espionnage de clavier à distance…. « c’i possible » ! Article sur Linuxfr (fr) avec test d’un mini système Tempest. Cryptome (en) ou ce lien. Tempest, l’art d’écouter aux portes électromagnétiques.

Le Piaggio Typhoon 50 est l’un des scooters 50 centimètres cubes les plus connus en et répandus en Europe. Tout le monde le connaît ! Ce n’est pas le plus beau ou le plus performant mais il a son charme. Ses roues à crampons, sa praticité et sa fiabilité ont été des atouts majeurs. Son esthétique a peu évolué. La plus grosse évolution au niveau de son look est en 2010 où il se modernise. Ses roues passent de 10 pouces à 12 pouces et ses lignes s’affinent. Après les dernières évolutions du look, le Piaggio Typhoon ressemble de près à son cousin le Gilera Stalker. Son gabarit est en hausse depuis son apparition. Son moteur à 2 temps et refroidissement liquide est estampillé Piaggio. Il se montre fiable et performant. Ce moteur a subi 4 évolutions, une en 1998, une en 2001, vol en Mirage une en 2007 et une en 2007. Ces évolutions ont permis à ce moteur de respecter les nouvelles normes de pollution en vigueurs. La transmission par variateur offre au moteur une courbe de puissance constante qui le rend à l’aise en ville grâce à un moteur vif. On retrouve une fourche télescopique hydraulique à l’avant et un amortisseur arrière hydraulique lui aussi. Combiné au cadre en acier tubulaire, vol en L39 le Typhoon 50 se montre facile à conduire et offre un comportement très sain. Le disque de frein avant de 220 mm de diamètre et le tambour arrière de 140 mm remplissent parfaitement leur tâche en rendant le freinage sécurisant. Il possède un grand coffre qui le rend très pratique.

Le Parti Socialiste veut donner de la voix en ce qui concerne le projet Air2030. Pour lui, le modèle proposé par le DDPS est trop cher et ne correspond pas à une armée moderne. Pour cela, le PS propose son propre modèle et nous allons voir, que celui-ci est en soi une vaste fumisterie. Il semble donc bien que PS qui trouvait que la police du ciel était inutile, il y a peu, a retourné sa veste histoire de plaire en vue des prochaines élections Fédérales. Pour le PS les avions proposés dans le cadre du projet Air2030 sont trop chers et surtout dépassés ! De fait, les socialistes proposent d’évaluer les avions suivants : le M-346 de l’italien Leonardo, l’Aerovodochody L-159 et le sud-coréen KAI T-50. Ces avions coûtent entre 10 et 20 millions d’euros chacun. À titre de comparaison: les jets que la Suisse souhaite acheter (Rafale, Eurofighter, Gripen, F-35, Super Hornet) coûtent 100 millions et plus chacun selon, le PS. On notera que le PS cherche également à faire patienter jusqu’à l’arrivée des futurs avions comme le Scaf et le Tempest. Le nombre de jets légers devant être achetés « dépend également du type acheté », explique le responsable de la sécurité du PS Zurich, Priska Seiler Graf.

Reportage Le 14 janvier, le ministère des Armées a lancé le développement du nouveau standard F4 pour améliorer l’avion de combat Rafale. Un contrat de près de 2 milliards d’euros qui profitera à Dassault Aviation et ses partenaires. La ministre de la Défense Florence Parly se rend dans l’usine Dassault de Mérignac ce 14 janvier pour annoncer une nouvelle commande d’avions de combat Rafale, pour un montant de près de 2 milliards d’euros. Dassault Aviation enregistre une première commande en 2019 pour son Rafale. Analyse Avec deux fois plus de Rafale que de Falcon dans son carnet de commandes, le groupe français Dassault absorbe la morosité persistante du marché de l’aviation d’affaires. Plus que jamais, la dualité du modèle Dassault fait la démonstration de sa pertinence. Vidéo Dans l’est de la Syrie, plusieurs Rafale sont engagés dans la reprise d’un des derniers bastions du groupe Etat islamique. Dans le cadre de l’opération Chammal, l’Armée française a mis à disposition une base avancée en Jordanie. L’industrie française de l’armement reste à la quatrième place mondiale en terme de ventes, selon le Sipri. Le dossier du remplacement des F-16 est plus que jamais un des dossiers explosifs du gouvernement Charles Michel. Polémique sur le rallongement de la durée de vie, retrait de candidats, candidature française hors du RfGP , décision qui tarde, l’issue de ce dossier est plus qu’incertaine avec de possibles rebondissements. Explications avec Josephe Henrotin, rédacteur en chef de la revue Défense & Sécurité Internationale et chargé de recherche à l’Institut de Stratégie Comparée. La majorité a voulu passer un été tranquille alors que le secrétaire général de l’OTAN Jens Stoltenberg pressait la Belgique de prendre une décision le plus rapidement pour renouveler sa chasse le 22 juin. Beaucoup espéraient que le kern annoncerait son choix avant le sommet de l’OTAN du 11 et 12 juillet. Finalement le gouvernement a préféré se laisser jusqu’en octobre, date de l’expiration des offres, en pleine période électorale des communales. « Plus le temps avance, plus les élections approchent et plus la sensibilité du dossier s’accroît. In fine, la probabilité d’en faire un enjeu de rivalité au sein de la coalition s’accroît également. En retardant la prise de décision à octobre, Charles Michel a probablement attendu qu’une fois l’été passé, les esprits s’apaisent », explique Joseph Henrotin. L’épisode du F-16 Gate a sans doute aussi sa part d’influence même si depuis la polémique s’est peu à peu vidée de sa substance mais le mal est fait depuis longtemps, jetant au passage le discrédit sur la Défense. Le dossier a pris beaucoup de retard encore plus que celui des blindés tandis que celui des chasseurs de mines est en bonne voie.

Il y a dix ans, il était possible d’entendre des pronostics peu optimistes quant à l’avenir du chasseur Su-30MKI, dont la vente a commencé au début des années 2000, rappelle le quotidien Nezavissimaïa Gazeta. On estimait qu’à l’issue du contrat avec l’Inde la construction de ses avions s’arrêterait. Cependant, le nombre de commande des Sukhoi a nettement augmenté depuis. La nouvelle version de l’appareil, Su-30SM, est devenue le chasseur russe le plus fabriqué et exporté. En février 2018, le vice-ministre russe de la Défense Iouri Borissov (actuellement vice-Premier ministre), pendant la visite de l’usine aéronautique d’Irkoutsk, a annoncé de nouveaux contrats pour l’achat d’avions dans le cadre du nouveau programme d’armement. A terme, le nombre total de Su-30 commandés et livrés par Sukhoi pourrait dépasser 500 avions. C’est plus que le Rafale et proche de Typhoon — les appareils qui sont arrivés sur le marché pratiquement en même temps que le Su-30MKI. Quelle est la raison de ce succès? Il n’existe pas de réponse claire à cette question, il faut analyser l’ensemble des facteurs militaires, politiques, économiques et techniques. T-10S-70, un appareil dérivé du Su-27 Flanker, et qui en conservait les grandes lignes. Toutefois la banqueroute, annoncée, de l’URSS puis sa désagrégation, beaucoup moins annoncée celle ci, allaient sérieusement contraindre Sukhoi à revoir sa copie. De ce fait le chasseur à poussée vectorielle ne devenait plus prioritaire, d’autant que le motoriste Lyulka semblait lui aussi en mauvaise posture financière. Les travaux reprirent en 1993 suite à un contrat officiel de la Russie pour le développement de deux prototypes, mais aussi suite à l’intérêt que l’Inde, client important de la Russie en matière d’armement, portait à ce principe. Le nouveau chasseur reçut la désignation Su-37 dans la nomenclature maison. Extérieurement, il se présentait comme une version légèrement agrandie du Flanker, mais hérissé de bien plus d’antennes diverses, trahissant ainsi son évolution technologique. Si la Russie ne semblait présenter son Su-37 que comme un merveilleux jouet technologique, Sukhoi de son côté tenta de placer cet appareil auprès de clients potentiels, et notamment de l’Inde qui très tôt s’avait avéré intéressée par la machine. Si aucun Su-37 ne fut vendu au sous-continent, une partie de sa technologie fut reprise sur les chasseurs Su-30MKI qu’acheta l’Indian Air Force à la fin du XXème siècle. Révélé réellement au monde entier en 1997 lors du Salon du Bourget le Su-37 enflamma rapidement l’imaginaire des passionnés d’aviation mais aussi et surtout des militaires. D’autant que l’avion semblait bien plus maniable que le prototype X-31 conçu conjointement par les Etats-Unis et l’Allemagne une quinzaine d’année auparavant. En 2008, la Russie a tout de même annoncé son intention de commander en série une vingtaine d’exemplaires du super chasseur de Sukhoi.